Lundi 30 mars

Ce matin, j’ai cru que j’allais pouvoir passer une commande chez Naturalia, de mes boissons végétales au riz à la vanille. Depuis août dernier, je ne bois plus que ça avec mes céréales (100% pétales de sarrasin) et mon café (je reprends un peu de café depuis le début du confinement, j’avais arrêté, mais jamais sucré). J’en mets également un peu avec mon silicium organique que je prends en cure (2 Litres, j’arrive au bout de la 1ère bouteille).
J’avais repéré un créneau samedi. Et le temps qu’on fasse notre liste avec mes parents, le créneau n’y était plus. Ascenseur émotionnel, désespoir… j’ai cherché toute la matinée un autre biais pour avoir mon lait car j’ai très peur que ma commande chez Greenweez ne soit pas livrée à cause de la réorganisation Colissimo.
J’ai fini par trouver une autre e-boutique bio où j’ai passé commande de quelques produits dont mes fameux laits. A voir quand tout ça pourra être livré.
Ca m’a pris du temps et de l’énergie…
Nous avons fait l’école à la maison.
Le lundi, Steven est sous l’eau quasi toute la journée. Il est venu nous rejoindre pour la pause déjeuner que nous avons faite tardivement, de toute façon tout est un peu décalé en ce moment.
J’ai programmé la newsletter pour le blog de l’école pour le soir-même.

L’après-midi, alors que les filles avaient bien bossé le matin, je les ai mises sur des activités manuelles. Thémis voulait préparer les poissons d’avril et Kara a fait des Blowpens. Ca nous a détendues un peu. Pendant ce temps, j’ai avancé mon défi des 100 jours.
Puis, après le goûter, j’ai lancé une séance de Yoga de mes coachs du LSC. Thémis m’a rejointe sur la fin de la séance. Ca m’a fait du bien.

Le soir, j’ai commencé une conférence sur le Sommet des Ados que je me suis offert et qui dure du 30 mars au 5 avril. Comme j’ai acheté le coffret, nous pourrons les regarder tranquillement à notre rythme avec Thémis, et même dans quelques années si besoin, ce n’est pas mal.

Les filles ont regardé du Lucky Luke.

J’ai cuisiné des boudins blancs, purée et pommes fruits cuits, grâce à la commande chez le boucher que ma mère avait passée vendredi dernier. C’était délicieux et j’étais assez fière de moi.

Nous avons terminé sur un Mad Men.

Puis grosse discussion jusqu’à 1h15 du matin. Moi qui pensait qu’on ne s’en sortait pas mal après 14 jours de confinement. Je ne devrais jamais penser des trucs comme ça, car c’est à ce moment-là que les soucis arrivent. C’est la Loi de Murphy.
J’espère que la discussion a fait du bien. Je n’en sais trop rien en fait. Je ne sais pas quoi penser de tout ça. Je ne sais même pas si je suis apte à penser.
Mais ça va. Et ça va aller. Je pense.