Semaine du 21 au 27 août 2023

Lundi 21, mon rendez-vous chez mon chirurgien s’était finalement avancé de plusieurs jours et j’ai pu le voir ce midi-là. Et lui aussi m’a fait passer un tas d’examens, de contrôle d’aptitude. Il a dit que je pouvais arrêter de porter la minerve, ce qui m’a rassurée car elle me créait des tensions dans le cou. Il s’est montré rassurant à l’étude de chaque compte-rendu d’examen et m’a dit que je n’aurai pas à me faire réopérer, ce qui était ma grosse crainte jusqu’à présent. Mon autre grosse crainte était de savoir quand ces douleurs allaient cesser. Et il m’a dit que ça allait passer avec le temps. Il m’a donné une radio à faire un mois plus tard avant de le revoir à 6 semaines de l’accident et il m’a arrêtée jusqu’au premier septembre il m’a demandé combien de temps je voulais être arrêté et je n’ai pas su quoi répondre car j’espérais que tout ça allait passer bien vite point il était prévu que je sois en télétravail le premier septembre et je me suis dit que c’était une bonne occasion de reprendre. Il m’a aussi dit qu’il me donnerait de la kiné la prochaine fois si j’avais quelques raideurs dans la nuque.
Je suis partie de chez lui rassurée et un peu honteuse à l’idée d’être en arrêt alors que j’aurais très bien pu aller travailler. C’était jusqu’à ce que je me rende compte que je souffrais tellement des mains que je n’arrivais pas à toucher un clavier. J’allais passer ces 2 semaines d’arrêt à souffrir.

Mardi 22, je suis restée à la maison. Je ne pouvais pas faire grand chose car toucher quoi que ce soit me faisait mal.

Mercredi 23, Steven était en télétravail. J’ai passé la journée dans ma chambre. Le directeur du Gué de Frise m’a appelée pour me dire que Thémis s’était tordu la cheville, qu’il avait essayé de l’emmener voir un médecin, mais que dans le désert médical où il se trouvait en Bourgogne, il n’avait pas pu. Ils lui ont mis de la glace sur la cheville, fait prendre du doliprane. Et elle n’allait pas pouvoir refaire de sport et de cheval d’ici la fin du séjour. Steven a très mal vécu cette nouvelle qui s’ajoutait à tous nos problèmes récents.

Jeudi 24, je suis restée à la maison. Toujours en souffrance. Steven aurait dû être en télétravail mais il est allé sur site.

Vendredi 25, je suis resté à la maison toujours.

Samedi 26, j’ai accompagné Steven pour aller chercher les filles à la gare de Bercy de retour du Gué de Frise. Ça a été une véritable épreuve car le vent sur mes mains me faisait très mal et il y avait du monde sur le quai et j’ai essayé d’éviter d’être bousculée. Mais j’étais très contente de pouvoir les revoir à la sortie du train. Nous avons apporté à Thémis mes anciennes béquilles. Elle allait passer d’un désert médical à un autre. J’avais pris un rendez-vous avec notre médecin traitant le premier septembre pour les certificats médicaux d’aptitude au sport… elle en profiterait pour la voir au sujet de sa cheville.

Dimanche 27, mon père est venu chercher les filles pour les ramener à Balines quelques jours avant la rentrée scolaire.

Odessa
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