Je me rends compte que j’avais oublié de publier cette semaine-ci…

Lundi 19, je suis allée bosser.
Kara n’avait plus de fièvre et Steven n’a finalement pas appelé la liste de médecins qu’on lui avait envoyée pour lui dégoter un rendez-vous d’urgence en plein désert médical. Mes parents ont réenvisagé de venir et de ne pas annuler toutes les commandes passées pour les repas de fêtes.
En fin d’après-midi, j’ai rejoint Gwen pour aller voir l’expo Fussli au Musée Jacquemart André. A la base, je devait y aller avec Mollo, mais celui-ci a renoncé car il partait en Espagne le lendemain et devait finir tard de bosser (la bonne blague peu crédible quand on sait “à quel point il bosse”). L’expo m’a énormément plu. Les thématiques fantastiques et cauchemardesques abordés par le peintre me plaisent énormément. C’est sombre et mystérieux. J’adore. Gwen a apprécié sans plus… quel ignare…
Nous avons rejoint Durton aux Halles puis Bey nous a rejoints. J’ai gardé mon masque tout du long sauf pour le dîner que nous avons pris rapidement dans les surfaces restauratives autour du ciné. Un hot dog et quelques tortillas ainsi qu’une brioche au Nutella. La débauche nutritionnelle… Le film, Fumer fait tousser, s’est révélé être une sombre merde à peine digne d’une nuit geek. Les garçons ont bien aimé mais plutôt pour un mode canapé. Gwen m’a raccompagnée jusqu’au début de la ligne 3 avant d’aller prendre son RER.

Mardi 20, j’ai décliné une invitation à un déjeuner d’équipe de Noël organisé par ma fameuse N+2 avec 20 personnes de mon équipe élargie dont 5 seulement que je connaissais. Déjeuner dans un resto confiné à 20, 2 jours avant de retrouver ma mère et 4 jours avant Noël alors que TOUT LE MONDE autour de nous se révélait malade (du Covid ou de la grippe), il n’en était même pas question. D’autant que finalement mes parents venant, il me fallait continuer à prendre le plus de précautions possibles.
Nous avons décalé notre point technique pour que l’équipe puisse rejoindre l’open space où devait avoir lieu l’échange de cadeaux du Secret Santa, avant le départ au restaurant, à 11h40. A 11h40 pétantes, nous étions les premières arrivées, comme d’habitude. En passant devant le bureau aquarium j’ai pu deviner ma boss, ma N+2 et des fournisseurs, toujours en réunion. Nous avons attendu. L’assistante nous a reçues, les collègues inconnus ont commencé à s’agglutiner autour du bureau de l’assistante qui nous a proposé des chocolats… avant le repas, ne sachant pas quoi faire pour nous faire patienter. 10 minutes plus tard, nous sommes reparties bosser à notre bureau. Au bout de quelques minutes, notre N+2 est passée devant nous, raccompagnant les fournisseurs. Nous ne l’avons jamais vue repasser… Puis tous les autres collègues inconnus sont passés également pour se rendre au resto et il a été annoncé que le Secret Santa aurait lieu après… ou pendant le resto et que chacun n’avait qu’à prendre son cadeau avec lui. Ma boss est passée également et m’a dit “Ben Caro tu ne viens pas ?” et j’ai réexpliqué pourquoi “non en effet”… Et elle a fait “ah oui je comprends”. Je les ai laissés partir. J’ai déjeuné puis je suis allée faire une course. J’ai trouvé le cadeau de la part de Steven pour Thémis, pour notre propre Secret Santa du Réveillon, celui pour lequel j’ai géré quasiment tous les cadeaux pour tout le monde.
Lorsque mes collègues sont revenus, ma boss m’a conviée à venir remettre mon cadeau à ma collègue inconnue. Une autre collègue inconnue m’a donné son cadeau pour moi, un calendrier de bureau et un carnet de chez Héma que j’utiliserai pour prendre des notes pour le boulot. Thémis s’est acheté sensiblement le même il y a quelques temps, pour sa première sortie shopping à So Ouest avec Calista.
En fin de journée, je suis allée dans le quartier des comics chercher un cadeau pour Steven de la part de Thémis et mon cadeau pour Gwen.
En rentrant, je suis passée me chercher des sushis à notre japonais. Ils étaient contents de me voir, on a discuté un peu.
J’ai regardé Sweet Girl avec Jason Momoa coeur coeur.

Mercredi 21, je suis partie plus tard car je passais la journée au magasin, “contrainte et forcée” par la Direction, dans le cadre d’une opération assez bancale de renfort magasin mêlé de Vis ma vie. J’avais rendez-vous à 11h dans les coulisses du magasin de la Maison où j’avais choisi de passer ma journée. Je devais rejoindre les équipes du 2ème étage, avec le mobilier et la Table de Luxe mais finalement personne n’était là pour m’accueillir. J’ai donc été conduite auprès des équipes du Linge de Maison au 4ème étage où j’ai passé une journée vraiment extra. L’équipe s’est montrée très accueillante, dirigée d’une main de fer dans un gant de velours par une syndicaliste qui prend bien soin de ses équipes et qui s’intéresse de prêt à son chiffre d’affaire. Nous avons bien discuté de mon activité sur les listes et elle a rameuté la terre entière pour qu’on bouge les choses pour avoir des visuels pour présenter les produits de la marque propre qui n’ont plus de visuels actuels… Au final, j’ai découvert une équipe tout aussi en souffrance que celles du siège, pour des problématiques un peu différentes mais assez semblables, avec des vendeuses qui font ce qu’elles peuvent avec le peu qu’elles ont, dans une ambiance de luxe, et avec des salaires à la limite de la dignité. J’ai bossé avec une ancienne des Achats, ancienne secrétaire de ma boss, et que je connaissais bien, aujourd’hui à la retraite et qui vient compléter sa retraite en étant démonstratrice pour une marque de senteurs.
J’ai mis des antivols sur des petits produits, j’ai fait des paquets cadeaux toute la journée, j’ai renseigné des clients, en français, en anglais, j’ai rangé quelques rayons et la journée est passée assez vite. J’ai vu passer devant notre rayon et pu saluer l’acteur Didier Bourdon, en survêtement, se promenant tranquille avec un grand sourire car il se sentait reconnu et salué. J’ai renseigné un client anglophone qui voulait un matelas pneumatique mais qui trouvait que chez Décathlon, c’était “too poor quality”. J’ai participé à un goûter d’équipe, dans une réserve de couettes, avec des pâtisseries qu’on avait choisies et que la syndicaliste était allée nous acheter sur l’argent de l’équipe, chez une pâtissière renommée du rayon Food. J’ai fait ma pause vers 14h30, chez Pomme de Pain, en décalé, et donc tranquille. J’ai fini ma journée vers 19h30 au lieu de 19h parce que ça me faisait plaisir de rester. Une très bonne expérience que je me suis promis de renouveler si j’en avais l’occasion.
Dommage qu’elle ait été générée dans de mauvaises conditions, sans tenants ni aboutissants, avec une obligation voilée au lieu d’une recherche d’adhésion au concept.
En rentrant, j’ai participé à une visio avec Evans et ma petite famille pour lui souhaiter son anniversaire.

Jeudi 22, je suis allée bosser le matin au bureau et j’en suis partie vers 13h car ma boss m’a donné mon après-midi pour que je puisse partir en voiture avec mes parents à Balines. Je suis donc rentrée sur Levallois et nous sommes partis dans la foulée. Nous sommes arrivés dans l’après-midi après pas mal de bouchons. Au final, la maladie de Kara s’est révélée être juste un mouvement grippal qui est vite passé. Je me suis testée le jeudi matin. Et notre organisation initiale a pu avoir lieu.

Vendredi 23, j’ai télétravaillé dans la chambre de mes parents. J’ai passé une demie journée sur un e-mailing qui finalement n’a jamais été envoyé car mes collègues n’avaient pas bien bordé les choses avec la marque. Le soir j’étais en vacances mais je devais me reconnecter lundi matin pendant mes congés pour vérifier une modification de lien, à cause de mes collègues… Steven, lui, a passé sa semaine de congés en call pour une gestion de crise. Quand je lui parle jours de récupération, il rigole. Je ne vais pas insister.

Samedi 24, nous avons fini le puzzle énigme que Steven m’avait offert, avec des dragons dessus. Mais nous n’avons pas fini les énigmes ! Il nous en manque 3. Nous nous sommes préparées. J’ai verni les ongles des filles.
Nous avons passé un réveillon tranquille en famille, avec une petite playlist Deezer. Ma mère nous a fait un bon repas. Petits fours salés, foie gras, médaillons de filets mignons de porc mijotés et ses pommes fruits, mousseline de panais (que Kara a adoré, sans savoir qu’il s’agissait de panais), fromages et bûches glacées.

Dimanche 25, les filles ont découvert leurs cadeaux. Kara a enfin eu son Avion de rêve de Barbie, après 3 ans d’attente. Thémis a eu une liseuse. Kara a également eu un réveil (qui fait trop de bruit et que nous allons renvoyer pour échange ou réparation), des playmobil, une bouillotte vache, des livres, une BD, des poupons Corolle pour le bain, un coffre fort en forme de livre et un tas d’autres petites choses. Thémis a eu une parure de linge de bain brodé à son prénom, un gilet, une trousse de toilette, des livres, un abonnement d’un an à Deezer (qui l’a rendue très heureuse), un t-shirt manga et un nécessaire pour “bruncher”.
Ma mère avait cuisiné une salade périgourdine et un gigot d’agneau rôti avec flageolets et pommes de terre sautées. Nous avons eu 2 pâtisseries en dessert.
Nous avons
L’après-midi, nous avons fait les cadeaux des grands. J’ai eu mes écouteurs bluetooth Samsung de la part de mes parents. Funfact, ma mère vient de perdre les siens qui avaient au moins 2 ans et étaient un peu moins bien. Elle s’est achetée les mêmes que moi mais pas la même couleur ! J’espère toujours que mes oreilles s’habitueront à les porter car ils sont de très bonne qualité mais un peu gros pour mes oreilles.
J’ai eu un coffret Smartbox de détente, une BD, un nouveau puzzle énigme, des Coussins de Lyon, une écharpe de la part de la soeur de Steven et nous avons eu le livre album photos de l’année passée des filles, réalisé par mon père.
Nous avons offert à mes parents les photos de classe des filles, un calendrier avec les filles, des livres, une BD, des DVD, du chocolat, un t-shirt pour ma mère, et une bouillotte dont j’espère qu’elle pourra profiter !
Steven a eu surtout des BD ! Et des chocolats. Et des billets dorés avec Cobra dessus que j’avais trouvés aux Comics.
Steven est reparti après dîner pour travailler dès le lundi.