Semaine du 11 au 17 octobre 2021
Lundi 11, le midi, je suis allée chercher les timbres “collector” Goldorak annoncés lors de l’exposition. Sauf que la boutique de philatélie à côté de mon bureau était exceptionnellement fermée. Je suis donc allée bêtement à la Poste à côté où ils en avaient. Je visais le “tampon 1er jour” dont on nous avait parlé à l’expo. Mais j’avais vu sur le net que “1er jour” ne veut pas dire jour de la sortie (à savoir ce lundi 11) mais était en fait une opé commerciale faite pour les philatélistes “en avant 1ère” le week-end d’avant… donc les collectionneurs avaient déjà fait la queue le samedi et dimanche dans la boutique de philatélie pour avoir leur fameux tampon.
J’ai également fait un aller retour au Village JouéClub pour aller chercher le catalogue de Noël… la pénurie annoncée de jouets nous inquiète un peu.
Le soir, je suis allée chercher Kara à l’école, après son activité Plateau acrobatique. Elle aime beaucoup cette activité. J’aimais bien lorsqu’on pouvait assister aux activités de la Ruche, grâce aux Portes Ouvertes. Depuis “covid”, ça n’est plus possible. Je me demande s’ils vont remettre en place les portes ouvertes (en limitant à un parent par enfant)… de toute façon tous les parents étaient loin d’y aller… et comme tout revient peu à peu à la normale, ça ne m’étonnerait pas.
A 9h30, je me suis connectée à la billetterie de la ville de Levallois pour réserver des places pour le concert d’Aldebert, le 5 décembre prochain. Quand le concert a été réservable, le serveur de la billetterie est tombé. J’ai eu énormément de mal à réserver, j’ai même envoyé Steven sur place au Conservatoire pour essayer d’avoir des places. Finalement, le serveur s’est débloqué et j’ai réussi à avoir 5 excellentes places à 1 rang d’écart, aux deux 1ers rangs de la salle. J’ai pris une place pour mon père qui aime bien Aldebert également, ce qui constitue un bon cadeau d’anniversaire : un concert avec ses petites filles, en bas de chez lui !
Le midi, je suis allée à la boutique de philatélie qui était donc ouverte et j’ai discuté avec le vendeur en lui demandant comment fonctionnait les tampons premiers jours. Il m’a dit que c’était en effet le week-end précédant la sortie et qu’il y aurait un rattrapage cette semaine le jeudi et vendredi matin jusqu’à 13h. Et que le vendredi il y aurait une dédicace des auteurs de la BD sur Goldorak qui allait sortir. Il m’a présenté d’autres planches de timbres spécifiques aux philatélistes, non vendues à la Poste, et qu’il avait reçues en quantité tout en me rassurant sur le fait qu’il en aurait encore le vendredi, jour où je comptais repasser. Devant moi une dame avait acheté les fameux timbres. Derrière moi, un collectionneur a pris plusieurs exemplaires des planches spécifiques… je commençais à me dire que j’aurais dû prendre directement. Mais je n’avais plus le temps de refaire la queue.
Le soir, je suis allée chercher Kara à l’étude et je l’ai douchée pendant que Steven emmenait Thémis au tennis. Je l’ai ensuite déposée chez mes parents où j’en ai profité pour souhaiter son anniversaire à mon père. Je lui ai offert le dernier album de Denez Prigent.
Au tennis, j’ai découvert Thémis avec son nouveau groupe… des filles, pas très vives, qui papotaient sur un banc, pendant que le terrain d’à côté était envahi par des garçons dynamiques. Ca fait un petit choc. Mais j’ai quand même assisté à de beaux échanges.
Au cocktail, à la Planchette, Thémis est restée cloîtrée près d’une porte, refusant d’enlever son masque pour manger quelques bricoles. Il faut dire que le buffet était en intérieur et donc les invités (enfants du CCJ, parents et animateurs) n’avaient que peu leur masque à l’intérieur pour pouvoir profiter du buffet. Nous-mêmes avons fait une sorte d’entre deux, tenant notre masque à la min pour manger. Il n’y avait pas eu de passe sanitaire demandé, et j’avoue que je n’étais pas à l’aise.
Thémis n’a pas décollé de son pilier de comptoir pendant une heure environ. Nous avons tout essayé délicatement… lui demander si elle voulait qu’on reparte tous les 3, lui demander si elle voulait qu’on reparte nous et qu’on l’y laisse seule, la prévenir que nous n’avions rien à manger à la maison et que le buffet constituerait son repas et qu’il valait donc mieux qu’elle profite…
Nous avons fini par discuter avec un papa d’une élue, longuement. Et elle a fini, au bout d’un très long moment, par daigner se mêler à ses copains et copines du CCJ. Elle a expliqué plus tard qu’elle était restée isolée car un peu mise à l’écart par 2 copines avec qui elle aurait voulu parler. Mais en fait, elle repoussait tous les enfants qui venaient la voir cordialement, nous y avons assisté…
Le discours de la maire fut assez long et ne nous a pas appris grand chose sur le programme de l’année…
En fin de soirée, Thémis ne voulait plus repartir…Mercredi 13, mon père a emmené Kara au tennis le matin et Thémis voir l’exposition Goldorak l’après-midi. Ca lui a bien plu (enfin à Thémis, moins à mon père). Nous avons eu notre première réunion avec ma nouvelle collègue qui remplace Florence, partie avec le PSE. Son contrat n’est pas encore démarré, son avenant pas signé, mais le site sur lequel elle travaillait a disparu pendant notre réunion, et avec lui la raison de son ancien poste, supprimé… Ca lui a fait bizarre.Jeudi 14, j’étais en télétravail. Je bénis réellement ces journées et je ne peux m’empêcher de penser avec nostalgie aux semaines avec nombre de jours de télétravail que j’ai connues. Je ne comprends pas les gens qui n’apprécient pas le télétravail ou qui le refusent (en tant que manager ou employé). Enfin je le comprends en de rares occasions particulières comme la présence de nombreuses personnes chez soi, un isolement réel car vie célibataire et pas d’autres rencontres que ses collègues, etc. Pour moi, c’est essentiellement du bonheur, de la concentration et de la sérénité. Le midi, j’ai profité de ma pause déj. pour aller faire mes Pilates. Ces séances me font du bien aussi. Je suis allée chercher Kara à l’école, après l’étude.
Vendredi 15, je suis repartie au bureau. J’ai présenté mon travail à ma nouvelle collègue. Elle a deux enfants, une fille de 4 ans et un garçon de 2 ans. Elle est plutôt éditorial/journaliste/rédactrice. Ca devrait nous être utile. Je lui ai montré beaucoup de choses. Ca va probablement changer notre dynamique d’équipe.
Le soir, je suis partie directement pour l’école où j’ai assisté au 1er Conseil d’Ecole. Sur 7 parents qui devaient venir à la base, sur 13, nous n’étions que 5 au final. 2 désistements de dernière minute… Le Conseil d’école s’est très bien passé, très positif. Cela m’a donné un bon espoir pour cette année avec la nouvelle directrice, notamment sur des relations apaisées avec le Centre de Loisirs, ce qui est très important pour moi.
En rentrant, j’ai mangé ce que Steven m’avait commandé chez le japonais, pendant une soirée télé avec les filles.
Samedi 16, l’après-midi, Steven a eu une partie de jeu de rôles qu’il a faite en visio dans notre chambre. Nous avons fait les devoirs et du rangement avec les filles.
Kara a post-ité le catalogue de jouets tout en reconnaissant qu’il y avait déjà beaucoup de choses qu’elle avait…
Le soir, Steven était KO, malade, et s’est couché directement. J’ai dormi dans le salon pour ne pas attraper son mal. Je me suis réveillée avec le dos cassé.
Dimanche 17, j’ai fait du ménage. L’après-midi, nous sommes allées, les filles et moi, chez mes parents, pour fêter leurs anniversaires à tous deux, après avoir fait un auto-test. Steven l’avait fait également et bien sûr aucun de nous n’était positif. Nous avons passé une très bonne après-midi et Steven s’est reposé. J’ai pu recommencer à offrir à mon père un budget pour ses sorties car il est très content de pouvoir ressortir, de retourner au concert, au musée et au cinéma. Et bien sûr la place de concert pour Aldebert.
Pour ma mère, ça a été une sélection de vêtements de son fournisseur préféré. Cela fait du bien de pouvoir se revoir pour ce genre d’événements. Ma mère avait fait des gâteaux (chocolat et poire amandine) et nous nous sommes régalées. Le soir, j’ai redormi dans le salon. Mais cette nuit-là, j’ai déplié le canapé, c’était un peu mieux.